MADAR/Nouakchott le 23-07-2024
L’Observatoire d’Al-Azhar pour la lutte contre l’extrémisme a déclaré que l’une des raisons conduisant à l’exacerbation du terrorisme sur le continent africain est due au manque de coordination en matière de sécurité, ce qui entraîne des lacunes sécuritaires, en particulier dans les zones frontalières, ce qui a contribué à la libre circulation des armes et à l’infiltration d’éléments terroristes d’un pays à l’autre.
Dans un rapport diffusé par les médias égyptiens, l’Observatoire souligne que la solution réside dans la formation d’alliances sécuritaires capables de contrer les tentatives visant à faire des scènes de violence et de terrorisme une réalité sur le continent africain, empêchant ainsi le développement et la réalisation de la stabilité dont le continent rêve pour les générations actuelles et futures.
Dans le dernier développement des attaques en Afrique, les milices pro-ISIS des Forces démocratiques alliées (ADF), à travers sa soi-disant « Province d’Afrique centrale », ont lancé une série d’attaques sur plusieurs villages dans la région de Beni dans l’est de la République démocratique du Congo, tuant plus de 37 personnes au cours des trois derniers jours, selon les rapports des médias locaux.
