Madar/Nouakchott/02-02-2024
Ce jeudi à Nouakchott, a été organisé une réunion pour communiquer entre le Commission et les organisations afin de s’informer de l’évolution des droits de l’homme et des problèmes qui s’y rattachent dans le pays, tout en identifiant les incohérences et les obstacles qui entravent l’action de ces organisations. Organisée par le président de la Commission Nationale des Droits de l’Homme, avec les organisations de la société civile. Cette rencontre rentre dans le cadre de la réunion que la Commission tient tous les deux mois avec les organisations de la société civile.
A cet effet, le président de la commission a souligné qu’en tant que médiateur entre elle et le gouvernement, le département est disposé à traiter avec la société civile, qui joue le rôle de contrôleur de l’action de l’État pour améliorer l’action de la société civile.
Les responsables des organisations de la société civile ont mis l’accent sur l’importance de ces réunions, qui leur ont permis de savoir vers qui se tourner en cas de besoin, en plus de leur gratitude envers la Commission pour le rôle qu’elle n’a cessé de jouer au niveau local et international. Et ce, pour donner une bonne image de la situation des droits de l’homme dans le pays avant de formuler un certain nombre de revendications, principalement axées sur la nécessité d’activer la carte d’invalidité, qui lui permet d’obtenir certains privilèges approuvés par la loi. En plus de la loi sur la scolarité obligatoire pour éliminer le travail des enfants et leur exploitation par les criminels.
Au terme de cette rencontre, le président de la Commission s’est engagé à prendre toutes les mesures nécessaires pour mettre en œuvre les revendications formulées par la société civile afin d’améliorer son action.
La réunion s’est déroulée en présence du secrétaire général de la CENI.
Fatimata DEH
